domingo, 19 de septiembre de 2010

Mais voilà qu'en rasant la côte d'assez près
Pour troubler les oiseaux avec nos voiles blanches,
Nous vîmes que c'était un gibet à trois branches,
Du ciel se détachant en noir, comme un cyprés.

De féroces oiseaux perchés sur leur pâture
Détruisaient avec rage un pendu déjà mûr,
Chacun plantat, comme un outil, son bec impur
Dans tous les coins saignants de cette pourriture;

Las flores del mal, C.Baudelaire